Entendre l’ineffable | ouvrage du prêtre Bernard Jakobiak publié par le COED

Les éditions du COED, Centre Orthodoxe d’Édition et de Diffusion de l’Église Catholique Orthodoxe de France publient ENTENDRE L’INEFFABLE, ouvrage écrit par le prêtre Bernard Jakobiak.

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 » Entendre l’ineffable  » aurait pu s’intituler :  » Comment diable, peut-on être chrétien en ces siècles où l’on se passe gaillardement de Dieu ?  » Il devient alors nécessaire de parvenir à témoigner du parcours d’une recherche personnelle quant au sens de la vie quand il n’est plus possible de se résigner à la condition mortelle. Il est alors nécessaire de découvrir le fil d’une suite de révélations qui se dévoileront selon l’écoute attentive de leur déroulement. L’arbre de la vie nourrie de la lumière véritable pourra proposer, à la race humaine renouvelée, la déification et la transfiguration de ses œuvres de vérité ouvrant à la vraie liberté en Jésus-Christ, le Sauveur.
Père Bernard Jakobiak

Biographie

Né en 1932, Bernard Jakobiak a été enseignant, il est poète et a été ordonné prêtre de l’Église Catholique Orthodoxe de France en 1996. Il est recteur de la paroisse de la Théophanie à Montpellier. Il a enseigné pendant dix ans à l’Institut Français de Théologie Orthodoxe Saint-Denys l’Aréopagite à Paris. Il vit à Montpellier et dans les Cévennes.

Préface

Oui ce titre ENTENDRE L’INEFFABLE lui va comme une gant ou comme une soutane du clergé de Saint-Irénée. D’ailleurs, c’est dans un café de Saint-Irénée que nous renouâmes des liens. Le prêtre me frappa par son aspect « mystique ». J’appréciais ses poèmes depuis longtemps et je pensais déjà à lui pour inaugurer la collection « Poètes trop effacés », au Nouvel Athanor.

Bernard Jakobiak devint un ami apprécié. L’ensemble de son œuvre témoigne de sa quête spirituelle, ininterrompue. Jamais médiocre, ou attendu, son talent dit l’envers des choses et des saisons derrière l’apparence des choses humaines. Loin de tout moralisme à courte vue, cette œuvre ressemble à la paroisse dont elle est issue. Elle métamorphose les strophes en prière. C’est une divine liturgie permanente. Elle me ferait croire en Dieu.

Jean-Luc MAXENCE