MESSE DE L’ANNONCIATION
le 25 mars
PRÆLEGENDUM
Ch. Tous les puissants de la terre imploreront ton regard, à ta suite viendront des chœurs de vierges
tes compagnes. / Elles seront présentées au Roi dans la joie et l’allégresse.
V. Une parole exquise bouillonne, débordante de mon cœur, /
Je m’écrie : Mes œuvres sont pour mon Roi.
Ch. Gloire au Père…
HYMNE
Après le kyrie, on chante :
Ts. Salut, Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec Toi. Tu es bénie
parmi toutes les femmes et Jésus, le fruit de tes entrailles est béni. Salut Marie !
COLLECTE
Cél. Ô Seigneur Jésus-Christ, Verbe fait chair, Toi qui pris naissance par l’opération du très haut dans
le sein d’une vierge, sans que s’ouvre la porte du corps maternel, jette un regard favorable sur les marques de déférence de cette solennité. Permets que notre cœur puisse en pénétrer le mystère : à Toi seul revient le passage, pour Toi seul il fut préparé, à Toi seul est agréable la pureté de nos esprits. Daigne être le seul gardien de ton œuvre et de son éternel habitant, ô Toi qui vis et règnes avec le Père et l’Esprit-Saint aux siècles des siècles.
LECTURE COMPOSÉE Ézéchiel.
Lect. La main du Seigneur s’étendit sur moi et l’esprit m’enleva et me fit entrer par la porte qui fait
face à la route d’Orient. Et voici que la Gloire du Dieu d’Israël emplissait le temple et la voix de
Dieu ressemblait au bruit des grandes eaux et la terre resplendissait de sa Gloire. J’entendis
quelqu’un qui me parlait depuis la maison et un homme se tenait près de moi.
Il me dit : Fils de l’homme, c’est le lieu de mon Trône, le lieu où je pose la plante de mes pieds. J’y habite à jamais au milieu des enfants d’Israël.
Après ces paroles, il me ramena vers la porte du sanctuaire, face à l’Orient. Elle était fermée. Et le Seigneur me dit : cette porte sera fermée, on ne l’ouvrira pas et aucun homme ne la franchira, parce que le Seigneur, Dieu d’Israël est entré par là. Elle restera fermée. Mais le Prince, Lui, S’y assiéra pour manger son pain en présence de Dieu.
Je regardai à nouveau et voici que la Gloire du Seigneur emplit le Temple de Dieu. Je tombai la face contre terre et j’entendis la voix de quelqu’un qui disait : bénie soit la Gloire de Dieu, au milieu de son saint séjour !
GRADUEL
Ch. La grâce est répandue sur tes lèvres, / aussi Tu es bénie de Dieu à jamais.
V. Écoute ma fille, regarde et tends l’oreille, oublie ton peuple et la maison de ton père.
ÉPÎTRE Isaïe 7, 10-15
À la place de l’alléluia ou du trait, on chante le «Dialogue» de la Vierge avec l’archange Gabriel (dialogue abrégé) :
Gab. Je te crie, joyeux : incline l’oreille et écoute-moi t’annoncer la virginale conception de Dieu, car
tu as trouvé grâce devant le Seigneur comme jamais aucune autre, ô Toute Pure !
Mar. Puissé-je comprendre, ô Gabriel, la valeur de tes paroles ! Comment ce que tu viens de me dire
s’accomplira-t-il ? Dis-le clairement, comment concevrai-je, étant vierge et comment deviendrai-
je mère de ton Créateur?
Gab. Tu sembles croire que ma parole est mensongère, alors que j’ai plaisir à contempler ta décision :
mais confiance, ô ma Dame, car Dieu le voulant, les choses les plus inouïes s’accomplissent.
Mar. Le règne est sorti de Juda, le temps du Verbe est arrivé où doit apparaître l’espoir des nations,
le Christ ; apprends-moi comment je L’enfanterai, étant vierge.
Gab. Le buisson qui reçut la flamme sans se consumer t’explique, ô Vierge pleine de grâce,
l’inénarrable mystère qui t’envahit : ô Pure, toujours vierge tu demeureras après ton
enfantement.
Mar. Ô resplendissant de l’éclat du Dieu tout-puissant, ô Héraut de la Vérité, Gabriel, dis-moi en
toute vérité comment ma pureté demeurant intacte, je pourrai enfanter dans ma chair le Verbe
incorporel ?
Gab. Tu t’étonnes, toute pure, et en effet tu représentes une merveille étonnante : seule entre toutes,
tu recevras en ton sein le Roi incarné, c’est toi que figurent les paroles et les énigmes des
Prophètes et les symboles de la loi.
Mar. L’incompréhensible à tous, l’Invisible pour tous, comment pourrait-Il habiter le sein d’une
vierge que Lui-même créa ? Comment concevrai-je le Verbe sans commencement, semblable au
Père et à l’Esprit ?
Gab. Ô Mère de Dieu, c’est à toi qu’est donnée la joie divine, c’est à toi que toute créature crie son
salut, ô Épouse divine, car toi seule, ô Pure, fut prédestinée à être la Mère du Fils de Dieu.
Mar. Que par moi, maintenant, soit anéantie la condamnation d’Ève ; que par moi, aujourd’hui, soit
remise la dette ; que par moi, pleinement, l’antique créance soit soldée.
Gab. Salut, Maîtresse ! Salut, Vierge toute pure ! Salut, Réceptacle de Dieu !
Salut, Lampe lumineuse, Réconciliation d’Adam, Consolation d’Ève, Montagne sainte, Sanctuaire brillant, Chambre nuptiale de l’immortalité !
Mar. La venue du Saint-Esprit a sanctifié mon âme, purifié mon corps et fait de moi un sanctuaire
renfermant Dieu, un tabernacle divinement orné, une enceinte spirituelle et la pure mère de
la Vie.
Gab. Vois, l’impossible pour toi est supprimé. Tu as raison de dire que cette nouvelle est
incompréhensible. Mais, prends confiance aux paroles de tes lèvres ; ne demeure pas dans
le doute comme devant une ruse, crois à la Vérité, car je m’écrie, joyeux : Bénissez le
Seigneur, toutes les œuvres du Seigneur !
Mar. Tu sembles dire la Vérité, ô Gabriel, car tu viens en messager de joie. Puisque mon âme et mon
corps sont consacrés, qu’il me soit fait selon ta parole. Que Dieu dresse en moi sa tente, car c’est
vers Lui, que je crie avec toi : Bénissez le Seigneur, toutes les œuvres du Seigneur !
Et l’ange quitta la Vierge.
ÉVANGILE Luc 1, 26-38
LITANIES selon l’ordinaire.
Le dimanche, on chante le Credo.
PRÉFACE DE L’OFFERTOIRE
Cél. Mes bien-aimés frères, levons les yeux vers le ciel, afin de contempler la Gloire du Seigneur
et voir comment Il a voulu qu’une Vierge conçut et de quelle manière Il récompensa sa Mère très pure de son enfantement.
Tendons ces mains en un geste de supplication vers la miséricorde du Dieu tout-puissant qui nous a donné son Fils unique.
Que la bienheureuse Vierge, sa Mère, nous accorde le secours de sa protection.
Il S’est fait Lui-même son don précieux et son Fils, Lui qui, se reposant à l’intérieur, apporte ce qui manque et, Se répandant au dehors, n’emporte pas ce qu’Il donne, Lui qui est l’offrande de son Père et qui n’attriste pas sa Mère par la douleur, Lui qui refuse les gémissements du nouveau-né, car il n’est point permis, en effet, à Celui qui engendre la joie de tous de connaître à sa naissance la force de la douleur.
Ô gracieuse Marie, touche l’ouïe bienveillante du Père, ainsi que celle de ton Fils, afin que dans sa pitié, envers notre misère, Il nous inonde de ses douces lumières.
Qu’Il accepte nos sacrifices expiatoires, efface nos crimes, soulage du poids de leurs fautes ceux qui sont tombés et porte le fardeau de leurs peines.
De même que notre âme conçoit ce qu’elle croit et que notre esprit pense ce qu’il choisit, qu’en notre rédempteur, la vérité de l’homme n’est pas différente, hormis la puissance de la divinité.
Ainsi le Fils unique distingue sans les désirer les entrailles d’une Vierge, tressant d’une façon étonnante le remède de notre salut et remportant la victoire sur la nature elle-même.
N’est-il pas admirable qu’en naissant Il Se charge de ceux qu’Il a créés, Lui qui, avant de naître possède ceux qu’Il a rachetés!
Ah ! Mère de très grande pudeur, Vierge féconde, présente notre prière à ton Fils.
Sans ton appui, nous trébuchons, nous sombrons dans l’abîme de nos fautes, loin de l’action salutaire de ton Fils.
Étends donc tes douces mains sur ceux qui t’implorent, affermit les chancelants, réchauffe les languissants et daigne bénir ceux qui t’adressent leur louange.
Et vous, bien-aimés frères, invoquez avec moi l’Esprit-Saint afin qu’Il me communique…
SONUS
Le dimanche, on chante : «Que toute chair…». Aux féries, on chante : «Salut Marie…». En ce cas, on ne le chante pas après le kyrie. Aux messes vespérales de Carême, on chante « Lumière joyeuse » à la place du Spnus.
SECRÈTE
Cél. Père saint, Dieu tout-puissant et éternel, jette un regard favorable sur ces offrandes que nous
déposons sur ton autel, en ce jour solennel où· nous fêtons, comme chaque année, le souvenir des bienfaits de la Mère de ton Fils, notre Seigneur Jésus-Christ, la bienheureuse, glorieuse et toujours vierge Marie. Laisse-Toi fléchir par son intercession et lave les turpitudes de nos péchés. Que la Vierge immaculée enfante Celui qu’elle a conçu et que celle qui est sans tache efface les fautes de ses fidèles. Que ton Esprit-Saint co-éternel agrée ces offrandes, qu’Il nous purifie de nos forfaits, Lui qui remplit de la vertu de sa splendeur et de sa grâce les entrailles de la Mère de Dieu, par Jésus-Christ qui vis et règnes avec le Père et l’Esprit-Saint, un seul Dieu aux siècles des siècles.
DIPTYQUES selon l’Ordinaire
POST-NOMINA
Cél. Dieu tout-puissant, qui par l’Annonciation du saint archange Gabriel, as voulu que Jésus-Christ,
ton Fils unique, prit chair, les portes closes, du sein d’une vierge Mère et ceci pour le bonheur de tous, reçois en ta bonté nos prières et ce sacrifice que nous Te présentons avec joie, en l’honneur de sainte Marie et du mystère de l’incarnation de ton divin Fils dont nous vénérons les insignes bienfaits de grâces, bien que nous soyons incapables d’exprimer ce mystère qui réalise dans le sein de la Vierge et par son intercession, le début du salut du genre humain.
Ô Fils de Dieu, rends-nous dignes du ciel, Toi qui, par pudeur de la beauté de la Vierge, n’as pas dédaigné de revêtir la nature humaine, Toi qui, par une admirable providence, l’as fait entrer dans la société des esprits célestes, ses compagnons.
Par ces très saintes vérités, nous Te supplions de purifier des contacts de la souillure terrestre les cœurs de tes serviteurs et servantes et d’inonder de ta grâce nos défunts leur accordant la félicité du repos éternel et de donner aux vivants la santé de l’âme et du corps, ainsi que le moyen d’acquérir le remède éternel, ô sauveur du monde, ami de l’homme, coéternel au Père et au Paraclet. À Toi louange…
BAISER DE PAIX
Cél. Ô Christ, Verbe de Dieu le Père, Toi qui T’es fait chair pour habiter parmi nous, fais que nous
qui avons été rachetés par ce même mystère de l’Incarnation, nous demeurions unis par le lien de ta paix perpétuelle, et méritions, durant notre séjour terrestre, de supporter les adversités, afin de nous réjouir dans la seule paix assurée, Toi notre Seigneur qui es béni aux siècles des siècles.
IMMOLATIO
Cél. Il est vraiment digne et juste, équitable et salutaire, de Te rendre grâces en tous temps et en tous
lieux, Seigneur saint, Dieu tout-puissant et éternel.
Tu as choisi pour naître une Vierge très gracieuse, issue de la race de David, une Vierge royale certes, mais étrangère à l’orgueil et connaissant son humilité, une Vierge saluée par l’Annonciation de l’Ange mais dont le cœur n’a pas bondi de joie.
Elle s’est troublée aux louanges que lui adressait Gabriel et n’a pas donné libre cours à sa joie.
C’est elle qui engendra, par sa foi en l’Esprit-Saint, Celui que les chœurs angéliques reconnurent comme Dieu dans ses entrailles et que la création adora au moment de sa naissance.
Tu nous as appris à nous servir du mystère de l’inénarrable Sacrement, par l’intermédiaire de la vierge Marie, digne de toute vénération.
Que l’on se réjouisse de ce qu’une vierge a conçu et porté dans ses entrailles le Seigneur du ciel !
Ô grande clémence de la divinité que Marie a contemplé avec un respect ineffable !
Elle seule a mérité, après le ciel, de porter un Dieu et un homme soumis à sa douce volonté et buvant le lait maternel !
Par elle, Dieu reçoit sa nourriture ! La conception a été annoncée par un ange. Dieu Se fait homme pour racheter les hommes et Il est conçu dans le secret d’un sein virginal sans la moindre souillure.
C’est pourquoi, nous unissant aux cieux et aux puissances angéliques des cieux, nous louons ce même Jésus-Christ, ton Fils et notre Seigneur qui règne avec Toi et le Saint-Esprit, en chantant, proclamant et disant :
La messe se poursuit selon le commun du temps : temps de carême ou temps pascal, (suivant la date de l’Annonciation), sauf pour la communion du clergé et la postcom-munion :
SANCTUS forme habituelle
POST-SANCTUS
Cél. Béni soit Celui qui vient au Nom du Seigneur !
Il est le Dieu de science, le Seigneur qui manifeste ses œuvres admirables et règle tout avec suavité.
Exalté au-dessus des mortels, le Seigneur est son Nom.
Il est le vrai Pain vivant descendu du ciel vers pour être notre nourriture de vie.
C’est Lui qui a nourri le peuple au désert, avec des parcelles de pain.
C’est Lui qui, par Moïse et par Élie inaugura le jeûne de Qua dragésime.
C’est Lui qui est venu parmi nous et, dans l’infirmité de notre corps, a accompli le jeûne total de quarante jours.
Que sa vertu nous communique le courage de jeûner sans que la chair ni le sang ne dressent d’obstacles devant nous, et que, imitant son abstinence avec l’adoucissement du repas vespéral, nous devenions semblables à Lui par le nombre sacré de quarante.
C’est par Lui, notre Seigneur Jésus-Christ, que nous avons accès à la vie, par sa Passion librement consentie, à la veille de laquelle Il prit du pain dans ses mains saintes, vénérables et magnanimes, leva les yeux au ciel vers Toi, Père Saint, Dieu tout-puissant et éternel, rendant grâces, le bénit, le rompit, le donna à ses Apôtres et disciples en disant :
INSTITUTION, ANAMNÈSE & ÉPICLÈSE selon l’ordinaire.
POST-ÉPICLÈSE
Cél. Qu’elles soient acceptées de Toi, Seigneur, ces offrandes de notre dévotion, que par l’action de
Ton Esprit, elles sanctifient notre jeûne et nous obtiennent l’indulgence de Ta consolation, par Celui qui sanctifie tout, qui bénit tout, qui distribue tout ; à Toi, Père tout-puissant et au Verbe fidèle et véridique, et à l’Esprit- Saint Sanctificateur conviennent tout honneur, toute gloire et adoration, maintenant et toujours et aux siècles des siècles.
Ts. Amen !
FRACTION DU PAIN selon l’ordinaire, mais sans Alleluia.
NOTRE PÈRE, LIBERA NOS
ÉLÉVATION Répéter trois fois, en élevant la voix d’un ton, chaque fois.
Cél. Agneau de Dieu
Ch. Qui ôtes le péché du monde, aie pitié de nous !
BÉNÉDICTION DES FIDÈLES
Cél. Dieu tout-puissant, Tu créas toutes choses par ta sagesse. Par ton ineffable providence et ta
grande bonté, Tu nous amènes à ces jours vénérables de purification de nos âmes et de nos corps, de maîtrise de nos passions, d’espérance de notre résurrection. Après quarante jours, Tu as gravé pour ton serviteur Moïse les caractères divins sur les Tables de la Loi. Bénis cette famille qui est tienne et qui courbe le front devant Toi. Accorde-lui dans ta bonté, de mener le bon combat,
Tous : Amen !
de poursuivre le cours du jeûne,
Tous : Amen !
de garder une foi intègre,
Tous : Amen !
de fouler les têtes des dragons invisibles,
Tous : Amen !
d’être victorieux du péché,
Tous : Amen !
d’arriver sans condamnation au terme de ce temps,
Tous : Amen !
et d’adorer Ta Sainte Résurrection.
Tous : Amen !
COMMUNION
Pendant la communion du clergé, le chœur peut chanter la grande antienne :
G.A. Aujourd’hui, est le commencement de notre salut et la manifestation du mystère prééternel ;
le Fils de Dieu devient le Fils de la Vierge et Gabriel annonce la grâce. Crions donc avec
Lui à la Mère de Dieu : Salut, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi !
POST-COMMUNION
Dia. Bien-aimés frères, de toute notre âme, supplions le Christ-Jésus, qui est supérieur à sa Mère,
pourtant restée vierge et mère, d’accorder à son Église une foi incorruptible, de répandre l’éclat de sa Lumière sur nos âmes et de dissiper nos ténèbres, par le secours des prières de la vierge Marie. Prions le Seigneur !
Ts. Accorde, Seigneur !
Cél. Nous T’en prions, que par la protection de la toute sainte vierge Marie, la douceur de ta
grâce sanctifie la communion, afin qu’elle procure à ceux qui en mangent le salut de leurs corps, le pardon total de leurs fautes et nous dirige vers les biens célestes que Tu nous a promis. Ô triple Lumière, Gloire à Toi aux siècles des siècles.
Ts. Amen !
Le clergé et les fidèles se rendent vers la statue ou l’icône de la Vierge, pour chanter les :
LITANIES DE LA VIERGE
V. Christ R. écoute-nous
Christ exauce-nous
Père céleste qui es Dieu aie pitié de nous
Fils, Rédempteur du monde, qui es Dieu aie pitié de nous
Esprit-Saint, qui es Dieu aie pitié de nous
Sainte Trinité qui es un seul Dieu aie pitié de nous
Sainte Marie prie Dieu pour nous
Sainte Mère de Dieu prie Dieu pour nous
Sainte Vierge des vierges prie Dieu pour nous
Mère du Christ prie Dieu pour nous
Mère de la grâce divine prie Dieu pour nous
Mère très pure, très chaste et sans tache prie Dieu pour nous
Mère toujours vierge prie Dieu pour nous Mère digne d’amour prie Dieu pour nous
Mère admirable et du bon conseil prie Dieu pour nous
Mère du créateur prie Dieu pour nous
Mère du Sauveur prie Dieu pour nous
Vierge très sage, digne d’honneur et
digne de louange prie Dieu pour nous
Vierge puissante, Vierge très bonne,
Vierge fidèle prie Dieu pour nous
Miroir de la sainteté divine prie Dieu pour nous
Trône de la sagesse, cause de notre joie prie Dieu pour nous
Demeure du Saint-Esprit prie Dieu pour nous
Demeure comblée de gloire,
toute consacrée à Dieu prie Dieu pour nous
Rose mystique, tour de David prie Dieu pour nous
Tour d’ivoire prie Dieu pour nous
Maison d’or, arche de la nouvelle Alliance, prie Dieu pour nous
Porte du ciel prie Dieu pour nous
Étoile du matin prie Dieu pour nous
Santé des malades, refuge des pécheurs prie Dieu pour nous
Consolatrice des malheureux, prie Dieu pour nous
Secours de la chrétienté prie Dieu pour nous
Reine des anges, des patriarches,
des prophètes, des apôtres prie Dieu pour nous
Reine des martyrs, des confesseurs et
des vierges prie Dieu pour nous
Reine de tous les saints prie Dieu pour nous
Reine élevée dans les cieux prie Dieu pour nous
Reine de la paix prie Dieu pour nous
Patronne des servantes de l’Église prie Dieu pour nous
Cél. Agneau de Dieu, qui ôtes le péché du monde
Hom. Pardonne-nous, Seigneur
Cél. Agneau de Dieu, qui ôtes le péché du monde
Fem. Exauce-nous, Seigneur
Cél. Agneau de Dieu, qui ôtes le péché du monde
Ts. Aie pitié de nous !
Cél. Prie pour nous, sainte Mère de Dieu,
Ts. Afin que nous devenions dignes des promesse de notre Seigneur Jésus-Christ.
Dia. Prions le Seigneur !
Ts. Kyrie eleison.
Cél. Nous T’en prions, Seigneur Dieu, conserve toujours à tes serviteurs et aux servantes de l’Église,
la santé de l’âme et du corps. Délivre-nous, à la prière que te présente dans le ciel la bienheureuse Marie toujours vierge, des tristesses de la vie présente et fais-nous goûter, dès maintenant, la joie éternelle.
Ts. Amen !
Le clergé remonte à l’autel et le prêtre chante la clôture habituelle.