4ème après Pentecôte

4ème DIMANCHE APRÈS PENTECÔTE

Les deux barques

Commission liturgique Octobre 2012

PRAELEGENDUM
(ton 6)

Ch. C’est le Seigneur qui m’éclaire et me sauve ; de qui aurais-je peur ? C’est Lui qui défend ma vie ; qui me fera trembler ? Quand mes ennemis s’en prennent à moi, ce sont eux qui chancellent et qui sont renversés.

V. Même si leur armée vient m’assiéger,

Ch. Je ne perdrai pas courage.

COLLECTE

Cél. Seigneur Jésus, évêque de nos âmes, qui accomplis les œuvres de ton Père et notre Père, accorde à nos travaux, à nos veilles et à nos prières la fécondité. Accorde-nous l’illumination de ta révélation.

Dans cette démonstration de ta puissance nous mènerons nos cœurs et ceux de nos frères vers la louange de ton Nom béni avec celui du Père et du Saint Esprit, à qui soient gloire, honneur et adoration aux siècles des siècles.

PREMIERE LECTURE
(Michée 7, 18-20)

GRADUEL
(ton 5)

Ch. Pardonne, Seigneur, nos péchés, délivre-nous à cause de ton Nom. Pourquoi les païens diraient-ils : où est leur Dieu ?

V. Aide-nous, Dieu de notre salut, par égard pour la gloire de ton Nom.

EPITRE
(Romains 8, 18-23)

ALLELUIA
(ton 7)

V. Mon Dieu assis à ton tribunal, Tu juges avec justice.

Sois donc l’appui des malheureux dans leurs épreuves.

EVANGILE
(Luc 5,1-11)

IMMOLATIO

Cél. Il est vraiment digne et juste, équitable et salutaire, de Te rendre grâce en tout temps et en tout lieu, Seigneur saint, Père tout-puissant, Dieu éternel, ineffable, indescriptible, invisible et immuable, par le Christ notre Seigneur.

Depuis la nuit du péché, hors du Paradis, l’homme mis par Toi dans le travail salutaire rencontra la résistance du monde. Tu le protégeas ainsi de toute suffisance. Lorsqu’il fut clair que, loin de Toi, l’homme ne pourrait libérer la créature par l’œuvre temporelle, Tu envoyas ton Fils. Brisant la coquille de l’incrédulité, née de l’effort stérile, Jésus fit monter au cœur des hommes dispersés le désir de Te retrouver, Père saint, dans le jour nouveau. Stupéfaits de voir l’obéissance mettre un terme à l’usure du péché, les trois disciples, Pierre, Jacques et Jean, laissent le siècle. Ils Te reconnaissent, ô Père, dans la frayeur de leur cœur. Ils suivent Celui que Tu as envoyé. C’est pourquoi avec les anges et les archanges, les trônes et les dominations, avec toute l’armée céleste, nous chantons l’hymne de la victoire, sans cesse, en disant :

CHANT DE COMMUNION DU CLERGÉ
(ton 8)

Ch. Le Seigneur est pour moi un roc inébranlable, une forteresse, un libérateur, mon Dieu et ma force.