2ème DIMANCHE APRÈS PENTECÔTE
Le Banquet eucharistique
Commission liturgique Octobre 2012
PRAELEGENDUM
(ton 1)
Ch. Il les a nourris de la fleur du froment, alleluia,
et Il les a rassasiés du miel du rocher, alleluia, alleluia, alleluia !
V. Acclamez Dieu qui est notre force,
Ch. poussez des cris de joie en l’honneur du Dieu de Jacob.
COLLECTE
Cél. Seigneur notre Dieu, Tu as préparé pour ton Eglise un festin nuptial. Tu as invité les malades, les boiteux, les infirmes à prendre part au banquet eucharistique, afin qu’ils soient restaurés par l’abondance de ta grâce.
Gloire à ta sagesse et à ta bonté qui font de nous tes convives, ô Dieu béni aux siècles des siècles.
PREMIERE LECTURE
(Isaïe 25, 6-12)
GRADUEL
(ton 5)
Ch. Tous les yeux sont tournés vers Toi,
et Tu donnes en son temps à chacun sa pâture.
V. Tu ouvres ta main, et Tu rassasies à souhait tout être vivant.
EPITRE
(1 Jean 3, 13-18)
ALLELUIA
(ton 7)
V. Ma chair est vraiment une nourriture, et mon Sang est vraiment un breuvage. Celui qui mange ma chair et boit mon Sang demeure en Moi et Moi en lui.
EVANGILE
(Luc 14,16-24)
IMMOLATIO
Cél. Il est vraiment digne et juste, équitable et salutaire, de Te rendre grâce en tout temps et en tout lieu, Seigneur saint, Père tout-puissant, créateur et maître de toutes choses, Dieu éternel, ineffable, indescriptible, invisible et immuable.
Admirablement, Tu envoies ton Verbe, Tu sauves la nature humaine en l’unissant à ta nature divine. Et, plus merveilleusement encore, Tu invites les hommes à participer à ta divinité, au festin de ton Royaume, à la communion au Corps et au Sang de ton Fils notre Seigneur. Dans ton incommensurable amour pour l’homme, Tu proposes, non seulement la résurrection de notre race défigurée, mais aussi l’ineffable déification. Ainsi, nous participons à ta gloire, nourris par la grâce de ton Esprit-Saint.
C’est pourquoi, avec les anges et les archanges, les trônes et les dominations, avec toute l’armée céleste, nous chantons l’hymne trois fois saint en disant :
CHANT DE COMMUNION DU CLERGE
(ton 7)
Ch. Toutes les fois que vous mangerez et que vous boirez ce calice, vous annoncerez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’Il vienne. C’est pourquoi quiconque mangera ce pain ou boira le calice du Seigneur indignement, sera coupable envers le Corps et le Sang du Seigneur, alleluia !