19ème après Pentecôte

19ème DIMANCHE APRÈS LA PENTECÔTE

Le banquet eschatologique
ou l’hospitalitÉ divine

Commission liturgique Octobre 2012

PRÆLEGENDUM
(ton 4)

Ch. Je suis le salut du peuple, dit le Seigneur ; en quelques tribulations qu’ils se trouvent, s’ils crient vers Moi, Je les exaucerai et Je serai à jamais leur Seigneur.

V. Ecoute mon peuple, mon enseignement,

Ch. prête l’oreille aux paroles de ma bouche.

COLLECTE

Cél. Seigneur tout-puissant et miséricordieux, Tu prépares le festin des noces de ton Fils avec l’humanité. Nous T’en prions, daigne nous revêtir de l’homme nouveau créé dans la justice et la sainteté, à ton image et à ta ressemblance, et que ce vêtement nuptial permette de participer au banquet du Royaume. Par notre Seigneur Jésus-Christ, qui vit et règne avec Toi et l’Esprit-Saint aux siècles des siècles.

PREMIERE LECTURE
(Zacharie 3, 1-5)

GRADUEL
(ton 7)

Ch. Que ma prière soit devant ta Face, comme l’encens, Seigneur,

V. et l’élévation de mes mains comme l’offrande du soir.

EPITRE
(Ephésiens 4, 17-28)

ALLELUIA
(ton2)

V. Célébrez le Seigneur, et invoquez son Nom, annoncez ses œuvres parmi les nations.

EVANGILE
(Matthieu 22, 1-14)

IMMOLATIO

Cél. Il est vraiment digne et juste, équitable et salutaire, de Te rendre grâce en tout temps et en tous lieux, Seigneur saint, Père tout-puissant, Dieu éternel, ineffable, indescriptible, invisible et immuable, par le Christ notre Seigneur.

Les cieux et la terre, l’œuvre de tes mains, attendent avec gémissements la liberté glorieuse des enfants de Dieu pour l’accomplissement du destin de l’univers, les noces éternelles de Dieu avec l’humanité.

Réjouissons-nous, car la Vierge a scellé les fiançailles de l’Eglise et de ton Verbe.

Elle est proche maintenant, l’union mystérieuse de l’homme avec Toi, ô Créateur.

Pressés par Ton Esprit, les invités aux noces délaissent les préoccupations terrestres et revêtent le vêtement nuptial. Ils entrent dans la cité sainte et prennent part au banquet mystique et ineffable, unis aux hiérarchies innombrables des esprits incorporels, qui T’acclament sans cesse en disant :