10ème après Pentecôte

10ème DIMANCHE APRÈS LA PENTECÔTE

LE PHARISIEN ET LE PUBLICAIN

Commission liturgique Octobre 2012

PRÆLEGENDUM
(ton 3)

Ch. J’ai crié vers Dieu et Dieu a exaucé ma prière, Il m’a délivré de ceux qui me combattent et les a humiliés,

Lui qui est avant les temps et demeure à jamais. Repose-toi sur le Seigneur, Il te soutiendra.

V. O Dieu, prête l’oreille à ma prière, ne Te dérobe point à mes supplications,

Ch. écoute-moi et réponds-moi.

COLLECTE

Cél. Tu abaisses les cieux, Seigneur, et la terre est remplie de ta gloire. Saisis de crainte devant le mystère, nous Te louons et nous osons, malgré notre bassesse, lever les yeux vers Toi et implorer ton saint Nom. Puissions-nous recevoir de Toi ce que nous ne méritons pas, les dons parfaits et excellents de l’Esprit, distribués à tous et à chacun en vue du bien commun. Nous Te le demandons par ton Fils, Jésus-Christ, qui vit et règne avec Toi et l’Esprit-Saint aux siècles des siècles.

Premiere lecture
(Daniel 3, 34-45)

GRADUEL
(ton 5)

Ch. Garde-moi, Seigneur, comme la prunelle de l’œil, à l’ombre de tes ailes mets-moi à couvert.

V. Que mon jugement sorte de ta Face ; que tes yeux regardent l’équité.

EPITRE
(1 Corinthiens 12, 1-11)

ALLELUIA
(ton 7)

V. A Toi est due la louange, ô Dieu, dans Sion ; à Jérusalem sont accomplis les vœux qui Te sont faits.

EVANGILE
(Luc 18, 9-14)

IMMOLATIO

Cél. Il est véritablement digne et juste, équitable et salutaire, de Te rendre grâce en tout temps et en tout lieu, et en particulier en ce jour où Tu nous conduis dans ton temple saint pour Te prier, ô Père céleste, Dieu incompréhensible, insaisissable, indéfinissable, invisible et immuable.

Tout ce que nous faisons de bien vient de Toi, qui opères tout en tous : nos ministères multiples sont l’œuvre de ton Verbe, et ton Esprit distribue tes dons à chacun selon ce qui est bon. Qui peut alors se glorifier de la justesse de ses œuvres, qui peut se vanter d’avoir un cœur pur, ou d’être indemne de toute faute ?

En vérité, l’orgueil élève le pharisien vers le bas, et l’humilité abaisse le publicain vers le haut.

Dans ta grande miséricorde, Toi le Très-Haut, Toi le seul parfait, Tu abaisses vers nous ton regard, et Tu ne détournes pas ta face du serviteur qui n’ose lever les yeux vers Toi.

Avec ton Esprit-Saint, nous confessons que ton Fils Jésus descendu sur la terre est le Seigneur de tous et l’élévation des humbles au-dessus des cieux.

Permets à nos voix suppliantes de s’unir aux chœurs angéliques qui chantent ta bienveillance, aux archanges qui adorent ta providence, et à toute l’armée céleste qui ne cesse de Te proclamer en disant :